Depuis mes études aux Beaux Arts de Besançon, mon travail de peinture est resté fortement attaché à la figuration du corps au bleu de prusse et noir de chine; bleus profonds aux fragrances d'encre, d'huile et de térébenthine. Plus tard, chez un restaurateur d'estampes et de papiers anciens, j'ai découvert et appris les infinies possibilités du papier chair de fibres, veines de bois, la technique du marouflage colles de peaux, suaire tissé, et celle, pigments fluides, des papiers marbrés à la cuve qu'on utilise en reliure.